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Channel: Les Chroniques d'Atreyu
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Flic ou Voyou (1979) HD 1080p light

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Réalisé par : Georges Lautner
Avec : Jean Paul Belmondo, Marie Laforêt, Michel Galabru, Georges Géret, Jean  François Balmer...
Durée : 1h45
Note Imdb : 6,8
Qualité : Bluray rip 1080p light









Le cinéma français des années 70, a connu ses heures de gloire. Parmi les films les plus populaires de l'époque, on pense tout de suite au meilleur de la période "Bébel" et les succès qu'il enchaîna entre 1973 et 1984. Du "Magnifique" au "Corps de mon ennemi" en passant par" Borsalino" ou encore "le Guignolo", "L'Animal", "L'incorrigible", ou "Le Professionnel" et "L'As des as", mais aussi et surtout "Flic ou voyou" un polar entre action et comédie. 
Un solide divertissement dont la star française se délecte d'un rôle à double tranchant qui vient pour faire tomber des policiers corrompus sur la côte d'Azur ! 

Rythme efficace, avec une intrigue prenante, servi par d'excellents dialogues d'Audiard, avec son lot de cascades et bastons, "Flic ou Voyou" se savoure en tant que tel, et c'est là le principal ! 




Lien HD 1080p Lighht (2,3 go) :
http://uptobox.com/hn9ol7pbroui






Buffet Froid (1979) HDTV 720p

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Réalisé par : Bertand Blier
Avec : Gérard Depardieu, Jean Carmet, Bernard Blier, Michel Serrault, Carole Bouquet...
Durée : 1h30
Genre; Comédie satirique
Note Imdb : 7,7
Qualité HDTV 720p







Et on continue avec un autre classique, cette fois de la comédie noire française, un des must cinématographiques de "Bertrand Blier" l'un de mes cinéastes favoris pour sa filmographie vraiment riche en termes de thèmes audacieux, des "Valseuses"à "Préparez vos mouchoirs" en passant par "Tenue de soirée", "Notre histoire, "Merci la vie" ou encore "Trop belle pour toi", je suis un adepte de ses films justement car ils sortent de l'ordinaire dans le cinéma français hexagonal. "Buffet Froid" est un petit chef d'oeuvre d’humour noir féroce, comme je les adore avec des dialogues millimétrés , des acteurs au diapason, de "Depardieu"à "Jean Carmet""Bernard Blier", ou "Michel Serrault" (dans un petit rôle de participation excellent), et la présence lumineuse de "Carole Bouquet"
Au delà des apparences, l'être humain véhicule le meilleur et le pire, de par l'âme qui l'habite, avec cette délicate frontière entre le bien et le mal, et les choix qui nous accompagnent tout au long de l'existence... 

Blier se régale et nous aussi d'un sujet hautement attractif, ou comme on le comprend à travers le titre, il ne s'agit pas d'un buffet gastronomique, mais d'un autre ou les cadavres vont s'accumuler, sans pour autant oublier l'humour caustique, le coté absurde des évènements, avec cette touche par moments "Bunuelienne" dans le film, offrant un minimum de poésie, pour finir sur une note ô combien juste, de vérité sur la vie et la mort....

Un bijou d'intelligence d'écriture, tout simplement !


Lien HDTV 720p / 2, 11 go (et merci pour vos commentaires...)
http://uptobox.com/4wco6x8w7o5q


                                             Extrait interview Bertrand Blier sur le film




La Grande Cuisine (1978) VO+STFR

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Réalisé par : Ted Kotcheff
Avec : George Segal, Jacqueline Bisset, Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jean-Pierre Cassel....
Durée : 1h48
Genre : comédie policière
Note Imdb : 6,5
Qualité : Dvdrip vo+stfr 



                                               Photos d'exploitation salles: 













Ce week-end, j'ai un peu plus de disponibilité et donc vous êtes gâtés au niveau des posts ! Et la petite surprise que je vous propose ce jour, est une rareté du au réalisateur du premier "Rambo", soit le meilleur film de la série au passage (enfin c'est mon avis) . 
Avec "La Grande Cuisine"et sa parfaite distribution au casting international, "Ted Kotcheff", s'attaque à l'empire de la haute gastronomie, à travers ses critiques et ses chefs en particulier. 
Sous forme de comédie policière, avec au centre de l'intrigue, une enquête autour du meurtre d'un chef cuisinier lors d'un immense repas organisé par un grand critique culinaire. Ainsi commence une comédie acide à l'humour noir, ou le suspense se base sur qui a tué "le chef" responsable du délicieux festin et surtout"Pourquoi"?  Tourné dans certains des plus grands lieux de la gastronomie parisienne tel que "La Tour d'Argent" ou "Maxim's", c'est une comédie à la sauce plutot relevée et dont la recette s'avère justement bien dosée, entre l'aspect comédie et enquête policière . 

Quoiqu'il en soit, "La Grande Cuisine" fonctionne grâce à une belle brochette de comédiens, notamment les français ("Philippe Noiret" et "Jean Pierre Cassel"en tête) qui s'en donnent à cœur joie dans la caricature certes parfois exagérée du milieu de la haute gastronomie mais c'est voulu, et cela fonctionne bien dans la mesure ou le film n'a d'autre but que de faire passer avant tout, un savoureux moment sur un thème pas si souvent abordé que ça au cinéma, dans mes souvenirs ! 

(a noter pas de vf, car le film alterne entre la langue française et l'anglais, bien que ce soit d'abord une vostf)



Lien  le 8/1/2018 au soir - Merci d'avance pour vos commentaires à venir, que j'ai toujours plaisir à lire et qui sachez le, me donnent envie, en grande partie, de continuer à faire perdurer ce blog ! Car le partage c'est aussi un retour écrit sur les films, de ceux qui comme moi, sont des passionnées !




La Mouette (1968) VOSTFR

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Réalisé par : Sidney Lumet
Avec : Simone Signoret, David Warner, Vanessa Redgrave,James Mason, Denholm Elliott....
Durée : 2h20
Genre ; Adaptation Pièce de théâtre (drame, romance)
Note IMDB : 7
Qualité : TVsatrip VOSTFR






Histoire : 
En Russie, a la fin du XIXe siècle, Constantin, un jeune écrivain, est amoureux d'une actrice, Nina. Mais cet amour n'est pas réciproque. Constantin tue une mouette et la dépose aux pieds de Nina...


Un des plus grands cinéastes américains, alias feu "Sidney Lumet" qui adapte la pièce du dramaturge russe "Anton Chekhov", c'est donc une belle curiosité pour qui aime avant tout les films d'auteur! Je n'ai pas besoin de vous dire l'admiration que j'ai pour la filmographie de "Lumet" et je ne vais pas vous citer toutes les perles qu'il a réalisées ("Equus", "Le Crime de l'Orient-Express", "Network", "A bout de course", "Un après midi de chien", "Serpico", "Point limite", "The Offence", "Contre enquête"...etc...) , mais avec "La Mouette", (pas son meilleur, mais surement l'un des plus intéressants sur le fond) c'est un film tourné sous une forme théâtrale auquel s'adonne le cinéaste tout en n'oubliant pas de rester avant tout une oeuvre également cinématographique dans ses intentions de mixage des deux. Il cerne ses personnages avec beaucoup de tact pour savoir les rendre attrayants à l'écran, donc attachants (mais pas tous...). 
"La Mouette" est une belle histoire d'amour, plus ou moins tragique, mais pétrie d'humanité, lorgnant aussi vers l'aspect sombre de l'être humain. Tout ici, repose sur l'interprétation, bien évidemment, et pour cela, des grands noms du cinéma (voir distribution plus haut)  jouant une pièce de théatre en intérieur et extérieurs qui nous est conté avec suffisamment de rythme dans sa mise en scène. 

La fidélité à l'oeuvre est équivoque, heureusement S.Lumet sait rendre un texte parfois complexe, probant dans ses analyses, pour qu'on se laisse aller au bout du récit... 



Lien : à venir le 11/1/18 (merci pour vos coms)




Froid comme la mort (1987) VF+VO+STFR

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Réalisé par : Arthur Penn
Avec : Mary Steenburgen, , Roddy Mc Dowall, Jan Rubes, Ken Pogue, Wayne Robson....
Durée :1h40
Note Imdb : 6,3
Qualité : Dvdrip vf mkv
 



Histoire : 
Une jeune actrice en quête d'un grand rôle, accepte d'aller passer un casting dans un vieux manoir, pour un illustre grand metteur en scène, mais les choses ne se déroulent pas tout a fait comme prévu, une fois sur place...



Changement de registre total avec le premier film du week-end qui cette fois sera un thriller à suspense que personnellement j'adore ! L'ambiance, le cadre et surtout l'intrigue est un pur plaisir pour tout spectateur aimant être pris à revers. 
"Froid comme la mort" est ce genre de petite pépite qui ne se voit qu'une fois (car dès qu'on connait la chute c'est moins surprenant bien évidemment) mais qu'on oublie pas dans nos souvenirs sur le genre en question. Le réalisateur "Arthur Penn"était un solide artisan d'Hollywood qui a connu ses heures de gloire fin des années 60 avec le très bon polar sur les célèbres gangsters, "Bonnie and Clyde". Du cinéaste américain, j'avais déjà posté ici même "Mickey one"excellent film sur la paranoïa et l'un de ses chef d’œuvres "Miracle en Alabama" deux films majeurs de sa carrière, que je vous conseille vivement, si vous ne les avez pas encore remarqué sur ce blog. 
 Pour ce "Dead of winter", même si le gros du pitch se dévoile en milieu de métrage, c'est surtout la manière dont le récit se déroule, qui s'avère captivant. Cela commence doucement pour monter en tension irrémédiablement, on sent bien que quelque chose se passe, va arriver, mais on ne sait pas quand ni pourquoi surtout ?
Là est toute l'intelligence de "Penn", de savoir distiller harmonieusement, les rebondissements, pour mieux vous entrainer dans la spirale machiavélique que constitue la construction du film. 
"Froid comme la mort" fait partie de cette belle époque des années 80 ou le cinéma de genre avait juste besoin d'un bon scénario et de bons acteurs, pour réussir à convaincre sur le fond. Même si la forme n'est pas en reste non plus, dans ce thriller de très bonne facture ! 


Lien vf :
http://uptobox.com/tzv0zybgmrgp
 Ajout de la VO+STFR (par Vir Daucalis) :
https://1fichier.com/?w5nhj1tza6





Nous Voulons les Colonels (1973) VF+VO+STFR

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Réalisé par : Mario Monicelli
Avec : Ugo Tognazzi, Claude Dauphin, Duilio Del Prete, Carla Tato, François Périer...
Durée : 1h35
Origine : Italie
Genre : Farce satirique
Note Imdb : 6,9 
Qualité : Dvdrip vf +vostf





Vous le savez, le cinéma italien de la grand époque, celui des années 60 a 80, sera toujours une de mes priorités ici ! Les grands classiques ou les petites raretés se succèdent sur "Les Chroniques"histoire de ne jamais oublier ce que les cinéastes transalpins ont su apporté de par leur audace ou bien leur goût de la provocation, de l'éclectisme constant au cinéma de genre dans tout ce qu'il a de plus original, de par ses thèmes traités (le giallo, le pur polar, le drame, la sf, la comédie ou le western spaghetti et j'en passe...) . Aujourd'hui je vous propose une farce satirique, rare qui plus est qui dénote de la vitalité d'un cinéma souvent subversif comme avec ce "Nous Voulons les colonels"
(à noter que le film fut en sélection officielle à Cannes en 1973)

Réalisé par "Mario Monicelli"("Mes chers amis", "La Grande Guerre", "Un bourgeois tout petit, petit"....) dont c'est le premier film que je poste, inutile de vous dire à quel point j'ai encore bien ri devant cette galerie de portraits iconoclastes et décalées, à travers une attaque en règle de la politique et de ses institutions comme l'Armée, enfin, surtout de ceux qui en font partie... 

Le pitch se résume ainsi : 

Nous sommes en 1973, Giuseppe Tritoni ("Ugo Tognazzi" toujours aussi fabuleux dans l'approche de ses rôles) un député ultra-conservateur, se trouve en désaccord, avec la politique menée par son parti fasciste. Il entre alors en contact avec des officiers de l'armée italienne en vue de préparer un coup d'état. Mais les choses ne vont pas vraiment se passer comme il le souhaitait...
Cela vous donne le ton général de cette comédie à l"humour corrosif, durant les années de plomb, ou l'Italie subissait une vague d'attentats, dû aux extrémistes de gauche et de droite. "Nous voulons les colonels" est le genre de farce que j'ai plaisir à voir, car ici les répliques font souvent mouche ou bien devant l'aspect foireux du coup d'état et de cette dérision présente à tous les étages. 
Cette approche offre un regard sur la société de l'époque, qui, au delà de l'humour salvateur du film, apporte tout de même une réflexion bien plus perturbante dans sa finalité... 

La preuve en est avec la chute de l'histoire auquel je ne m'attendais pas du tout, et qui m'a laissé bouche bée...
Vous verrez bien, chacun son point de vue, mais au final, le film fait aussi réfléchir en choisissant de faire rire avant tout, mais de façon très subtile je trouve...


Merci d'avance pour vos commentaires...

Lien VF:

Lien VO+STFR a venir le 15/1/18


                                                              

Comme au bon vieux temps (1980) VF

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Réalisé par : Jay Sandrich
Avec :  Goldie Hawn, Chevy Chase, Charles Grodin, T.K. Carter, Harold Gould....
Durée : 1h38
Genre : Comédie, romance
Note Imdb : 6,7





Allez on continue sur le ton de la comédie, mais américaine cette fois ! 
Avec "Comme au bon vieux temps" tirée d'une pièce de Neil Simon, c'est un plaisant vaudeville bourré de situations comiques (souvent extravagantes) sur les aventures d'un trio composé d'un couple (dont le mari est un futur député et sa femme avocate) et de l'ex-mari, accusé d'avoir commis un braquage. 
L'ex-épouse ("Goldie Hawn" toujours aussi pétillante) va prendre la défense de l'ex-mari ("Chevy Chase"comme à son habitude). On retrouve ici les deux comédiens qui jouaient déjà dans le même registre avec le très bon "Drôle d'embrouille" (1978, disponible sur ce blog). 
 Sauf qu'ici on leur adjoint la présence très bénéfique de "Charles Grodin" ("Midnight Run", "King Kong"de Guillermin) dans le rôle du mari jaloux. Rien à rajouter, si ce n'est que cette comédie est bonne grâce à la plume de l'auteur, Neil Simon, référence dans le genre pour ses nombreuses pièces à succès.




Lien dvdrip vf a venir le 18/1/18





Les complexés (1965) HDTV vostf


Les Damnés (1969) VF

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Réalisé par : Luchino Visconti
Avec : Helmut Berger, Dirk Bogarde, Ingrid Thulin, Charlotte Rampling, Florinda Bolkan, Helmut Griem, Umberto Orsini, Nora Ricci, Valentina Ricci....
Titre original : "La Caduta Degli Dei"
Durée : 2h35
Genre : Drame, Guerre
Note Imdb : 7,6
Qualité : Dvdrip fr mkv (bonne qualité) 








Retour au grand cinéma italien "classique" avec l'un de ses plus grands représentant en la personne de "Luchino Visconti" ("Rocco et ses frères", "Le Guépard", "Senso", "Mort à Venise", Violence et passion"...  pour ne citer qu'eux). 
Pour ma part, de tous les films de "Visconti" que j'ai pu voir,"Les Damnées" est vraiment celui auquel je repense souvent quand je regarde sa brillante filmographie et au final, c'est le film que j'admire le plus (après j'ai pas eu la chance de tout voir, mais ca serait dur de le détroner tellement je le trouve fabuleux) ...

Pourquoi ? 

Tout simplement par sa mise en scène, sa photo, sa direction d'acteurs , et surtout son scénario magistral, dont la teneur est d'une force implacable et m'a littéralement emballé par sa dimension tragique. Je le dis sans hésiter, alors que les critiques citent souvent comme chef d’œuvres "Le Guépard" et "Mort à Venise"(d'accord pour le premier, moins pour le second même si celui ci reste un excellent film), "Les Damnés" est celui que je citerais davantage, en tant que tel. 

Pour un tas de raisons encore une fois, qui font que cette fresque est un vibrant pamphlet nihiliste qui cerne avec une précision chirurgicale, les personnalités multiples d'une famille allemande pendant la montée du nazisme,  à travers leur dévouement au 3ème "Reich" mais dont certains vont choisir une voie pas toujours fidèle aux ambitions du futur chef du parti nazi, que je n'ai pas besoin de citer.. 
"Visconti" s'impose donc ici de par l'ampleur qu'il confère à la dramaturgie presque "Shakespearienne" de l'histoire, qui ne fait que monter en puissance jusqu'à une dernière partie, les plus intenses en termes de narration, de par des scènes avec ou sans dialogues qui m'ont procuré un profond ressenti intérieur (cela dépend bien sur de votre sensibilité ou pas...) et une vision de foisonnement baroque qui en fait une oeuvre habitée et fulgurante dans ses excès, totalement maîtrisée dans sa construction labyrinthique. 

2h35 de pur bonheur cinématographique !

Incontournable à mon sens !




Merci pour vos retours....


Sinon, sachez que je pars très bientôt au 25ème Festival du Film Fantastique de "Gérardmer" et je laisse aux commandes du blog, Vir pendant cette courte absence, (du 30 Janvier au 5 Février). Mais il est fort possible que vous aurez droit à mon ressenti au jour le jour dans ces pages, des films présents en et hors compétition (de ceux que j'ai le temps d'aller voir biensur ! ) avec sans doute des interviews aussi de spectateurs aux sorties des salles que je posterais en soirée jour par jour (si j'ai le temps aussi) 


Lien Dvdrip fr a venir le 23/1/18 (bonne qualité)





Fanny et Alexandre (1982) HD 720p Dual audio

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Réalisé par : Ingmar Bergman
Avec : Kristina Adolphson, Pernilla Allwin, Bertil Guve, Siv Ericks....
Durée : 3h09
Genre : Drame, famille
Note Imdb : 8,1
Qualité : BLURAY 720P DUAL AUDIO






Nombre de chefs-d'oeuvres du 7ème art se compte sur les doigts d'une main et je me suis dit qu'il était aussi important de privilégier d'autres immenses cinéastes dont la filmographie à elle seule demeure dans le panthéon du cinéma international. 

"Fanny et Alexandre" est le second film de la carrière du suédois "Ingmar Begman", que j'ai découvert (j'ai du en voir 4 ou 5 ce qui est très peu, et je vais essayer de me rattraper) mais celui ci restera gravé parmi les plus beaux moments que j'ai vécu dans une salle pendant une rétrospective du réalisateur à la cinémathèque de Paris. Et je regrette de n'avoir pu en découvrir que trois sur les 8 projetés. Heureusement j'ai choisi de voir "Fanny et Alexandre" en priorité, car on m'en avait dit tant de bien que je préférais le vérifier par moi même, car un avis quel qu’il soit est toujours très personnel, surtout en matière de cinéma. 

Et en sortant de la salle, je me souviens avoir été submergé par l'émotion que dégage ce film, par la teneur ô combien gracieuse et envoutante de cette immense fresque familiale. 
Par cette justesse confondante avec laquelle "Bergman"pose sa caméra partout, et en particulier sur le regard des deux enfants principaux, dont le parcours demeure à mon goût comme l'une des plus belles histoires contées ou chaque dialogue, chaque construction de plan, chaque décor et chaque image qui se dessine à travers une photo sublimée de couleurs chaudes et contrastées, puisse atteindre la quintessence d'une œuvre sobre, belle et si touchante, qu'elle vous accompagne bien au delà de la salle...

Je ne vais pas vous raconter en détail les plus de 3 heures de ce mirifique chef-d’œuvre, fascinant et crépusculaire, pour vous laisser le plaisir d'en savourer chaque instant, (du moins je l'espère pour vous...) surtout dans cette superbe qualité d'image ! mais voilà pourquoi j'adore le cinéma qui touche à la grâce, il n'y a que lui, pour vous procurer ce frisson unique qui fait qu'on aimerait que cela continue...encore et encore...

 Avec 3h d'un tel niveau de maitrise cinématographique, vous verrez comme le temps passe vite finalement..
Un film en 3 actes, que je qualifierais donc de magique, empli de  poésie surannée et qui fait partie de mon top 3
 (avec "Cria Cuervos" de C.Saura,  et "L'incompris" de L.Comencini) des films les plus beaux sur le thème de l'enfance...
(mais pas seulement, sur l'unité familiale aussi)



Merci d'avance pour vos nombreux commentaires a venir...


Lien Bluray HD 720p Dual Audio (français, suédois)
le 26/1/18




Chacun à son poste et rien ne va (1974) VO+STFR

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Réalisé par : Lina Wertmüller
Avec : Luigi Diberti, Lina Polito, Nino Bignamini, Sara Rapisarda, Isa Danieli, Eros Pagni...
Origine : Italie
Durée : 1h45
Genre : Comédie dramatique
Note Imdb : 6,4
Qualité : Dvdrip vo+stfr







Encore deux petits jours et je m'en vais me détendre et voir je l'espère de nouvelles perles du fantastique à Gérardmer qui cette année propose quelques crus très alléchants, comme le dernier film de Pascal Laugier ("Martyrs") "Ghostland" ou encore "Chasseuse de géants" tirée d'une BD excellente que je suis très curieux de découvrir, notamment pour son univers visuel. J'ajouterai également "The Lodgers", un film de fantômes pour une fois très original dans le propos. Vous aurez surement un retour de mes impressions et de celles du public sur les pages du blog pendant ou juste après le Festival. 
Pour le moment, je vous propose à nouveau une pépite rarissime du prolifique cinéma italien des années 70, histoire d'enrichir encore "Les Chroniques" pour avoir le maximum à proposer dans le genre mais aussi pour vous toutes et tous, avides de découvertes de ce cinéma là, en particulier. Avec "Chacun à son poste et rien ne va", que la réalisatrice italienne d'origine suisse (de par son nom) Lina Wertmüller réalise en 1974 (déjà très présente avec quelques films majeurs de sa carrière sur ce blog), on est dans une vision de la société tragi-comique (plus comique que tragique même si le revers de bâton peut parfois faire mal) qui articule son récit autour de la quête effrénée de l'argent, de l’hyper consommation ou de l'aspect souvent absurde de la vie moderne. 

Mais resituons d'abord l'histoire :  

Un groupe d'immigrés du Sud de l'Italie accepte de partager un immeuble collectif à Milan, ainsi que les dépenses quotidiennes. Gino, après plusieurs efforts pour se trouver un travail honnête, devient un voleur. Carletto devient cuisinier. Biky et Adelina font les femmes de chambre. Isotta se prostitue. Sante, un Sicilien, devenu en peu de temps le père de sept enfants, accepte n'importe quoi, y compris de participer à un attentat d'obédience fasciste...


Vous l'aurez compris, quand on lit le résumé, c'est aussi une image exubérante de la vie sociétale dont il est aussi question ici,  avec toujours cette réflexion très juste que les tenants et aboutissants des chemins qu'on prend dans la vie s'avère parfois fastidieux pour réussir le mieux possible sans avoir trop de regrets ensuite...
Lina Wertmüller (agé de 91 ans aujourd'hui) se pose donc en métronome de nos obsessions, de nos angoisses, de nos envies, de notre volonté d'avancer ou pas, avec les obstacles parfois cruels que les protagonistes attachants de cette fable moderne, vont rencontrer dans leur quête de réussite, pour prouver que rien n'est facile et acquis face aux interrogations sociales, politiques et même amoureuses ou sexuelles...
En somme, un film qui parle de choses essentielles, avec une troupe de comédiens italiens, pour la plupart peu connus à l'époque mais qui sont tous parfaits dans leurs rôles respectifs, de par leur caractères diamétralement opposés mais unis dans l'adversité. 

Encore une fois, une petite perle qui fait réfléchir sur nos choix, au travers de plusieurs personnages, dont on pourrait s'identifier pour certains, Quoi qu'il en soit, un film qui démontre la vitalité du cinéma d'auteur italien de cette grande époque !


Et merci de vos nombreux commentaires à venir !


Lien vo+stfr disponible le 29/1/18 au soir



                                              Extrait BO Piero Piccioni




Le souteneur (1961) HDTV vostf

Vittorio Gassman le flamboyant (2016) HDTV

Séduite... et abandonnée (1964) HDTV vf

La chance d'être femme (1956) HDTV vostf


Les femmes des autres (1963) HDTV vostf

May (2002) VF+VO+STFR

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Réalisé par : Lucky Mc Kee
Avec : Angela Bettis, Jeremy Sisto, Ana Faris, James Duval...
Durée : 1h30
Genre: Horreur, drame
Imdb : 6,7
Qualité : Dvdrip vf +vostfr






Et voilà suis de retour depuis hier du "Festival de Gérardmer" ou l'un des 3 meilleurs films de la compétition, parmi mes favoris, a donc logiquement reçu le Grand Prix (ainsi que le "Prix du public" et celui du jury "Scy-Fy") très mérité pour Pascal Laugier("Martyrs", The Secret") avec son excellent "Ghostland" (sortie prochaine le 14 mars) que je vous conseille vivement tant c'est un bijou horrifique intense, morbide et habité, percutant dans sa mise en scène viscérale à vous faire vivre un cauchemar réaliste, bref, un régal pour ma part. 
Et donc pour rester dans le ton du Festival, quoi de mieux que de continuer ce mois, (après les récentes pépites italiennes que Vir vous a proposé en HDTV) en vous plongeant dans un autre cauchemar sélectionné en 2003 à Gérardmer, un de mes préférées dans le genre fantastique, horreur. "May" de Lucky Mc Kee est pour ma part, son meilleur film et de loin (même si j'aime beaucoup "The Woman" et son segment de "Masters of Horror") de par sa thématique sociale avec une dimension horrifique réaliste et pour certains traumatisante...
Le mérite en revient d'abord à la principale actrice qui joue"May" alias"Angela Bettis", totalement investi dans ce personnage dont la noirceur intérieure à cause d'échecs successifs va se révéler dans une spirale dangereuse et destructrice, dont les enjeux sont la quête d'un bonheur ultime. 
Passionnant à tous points de vue, la mise en scène cerne au plus près les tourments de cette jeune fille introverti, timide et qui n'a pour seule véritable confidente, une petite poupée aux yeux injectés de "ténèbres", offerte par ses parents lorsqu'elle était enfant.
Jusqu'au jour ou"May"décide de se fabriquer un amant idéal...

Vous verrez bien ce qu'il en est en voyant le film pour ceux qui le découvrent, mais la réponse est d'autant plus significative de la personnalité de celle ci. 


Merci de vos retours dans les coms : 

Lien : VF et VO+STFR (dvdrip mkv) le 8/02/18





Cashback (2006) VF +VOSTF / Film + CM

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Réalisé par : Sean Ellis
Avec : Sean Biggerstaff, Emilia Clark, Michelle Ryan, Jeff Bowen, Shaun Evans, Katie Ball....
Durée : 1h38
Note Imdb : 7,2
Genre : Comédie, romance, fantastique
Qualité : dvdrip vf +vo+stfr
Bonus : Court métrage"Cashback" (2004) en vo+stfr  





Encore de la diversité sur ce blog, avec une incursion, cette fois, dans l'imaginaire de l'ex-photographe anglais "Sean Ellis", qui signe avec son premier film, l'adaptation en long métrage de son court métrage de 2004, "Cashback", et qu'on peut classer comme un véritable petit ovni dans son genre. 

Le pitch se résume ainsi : 

Après une rupture soudaine dont il a du mal à se remettre, Ben Willis,étudiant aux beaux arts se met à travailler de nuit dans un supermarché. 
Usé par l'insomnie et l'ennui, celui ci se découvre le don de suspendre le temps. il parvient à figer le monde et se met à dessiner les corps nus des clientes du supermarché, à leur insu...

De ce postulat en découle une oeuvre délicate, poétique et enchanteresse. On sent bien que"Sean Ellis" est avant tout un ex-excellent photographe, tant sa caméra capte les images figées, en suspension dans le temps, avec l'art d'immobiliser tel une photo, les tableaux vivants, et les modèles de femmes qu'il choisient avec soin (et pas les plus moches tant qu'a faire !) pour trôner dans le supermarché, selon le bon vouloir de Ben. 
Peu importe de savoir comment il a développé ce don étrange, incroyable dans les possibilités qu'ils lui offrent, mais c'est peut être un moyen de trouver un nouveau sens à sa vie, après avoir perdu l'amour de sa chère et tendre. 
Cette opportunité sera pour lui, l'entrée dans un monde différent, qu'il modèle à sa guise, et de savoir où ce don particulier pourra bien le mener... 
Grâce à un excellent casting et une utilisation habile des effets spéciaux, d'une beauté réaliste, "Cashback "est un film qui s'agrémente d'une réflexion subtile sur l'aspect parfois inattendu d'un évènement qui surgit dans la vie de quelqu'un dont les insomnies révèlent la fibre d'un artiste qui se confirme à travers l'utilisation de son don, pour le moins original...

Un film fascinant de par sa conception, plus que recommandable. A noter que le réalisateur signa deux ans plus tard un autre film fantastique (sélectionné à Gérardmer) tout aussi intéressant, avec "The Broken" sur un cas étrange de"Doppelganger". 

Etant une personne de nature généreuse quand je partage ma passion, je vous rajoute également le fameux et remarqué court métrage, du même "Sean Ellis"qui a eu cette bonne idée de le transformer en long...


Merci pour vos coms en retour...



Lien vf  :
http://uptobox.com/5w2la0v1c6zk

Lien vo :

Stfr : 


Lien vo+stfr/  Court métrage le 11/2 ou 12/2/18





La corrida de la peur (1951) VOSTF

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Réalisé par : Robert Rossen
Avec : Anthony Quinn, Mel Ferrer, Miroslava, Charlita....
Durée : 1h45
Genre; Drame, romance
Note Imdb : 6,7
Qualité : 480p VOSTF









Un grand merci à "Jorgrinch" pour cette nouvelle proposition d'un film que je ne connaissais pas, un classique movie du début des années 50 ! Avec une distribution plus qu'intéressante,"Anthony Quinn", "Mel Ferrer"et la belle blonde "Miroslava"
Bien que le sujet ne m'attire pas à la base (je déteste la corrida, c'est viscéral j'y ai assisté une fois et j'ai trouvé ça horrible à regarder car a 98 pour cent , le taureau est tué, tellement il est affaibli avec des piques sur le corps, et on assiste surtout à sa lente agonie, je considère d'ailleurs que le toréador n'a aucun mérite car il n'a qu'a lui porter le coup fatal une fois que le taureau est trop faible pour se défendre), je reconnais que celui ci est davantage centré autour de la mort d'un toréador (youpi ! bien qu'il y ait aussi des scènes de corrida que je n'ai jamais plaisir à regarder), dont le principal témoin est aussi un grand toréador avec qui il a subi des injures. 

Donc c'est plus un drame qu'un film sur la corrida, fort heureusement, et aussi c'est une rareté du à "Robert Rossen" qui avait signé entre autres les excellents "L'Arnaqueur" et "Lilith". 



Lien fourni par"Jorgrinch" que l'on remercie : VOSTF
http://jheberg.net/download/the-brave-bulls-jorgrinch-1951-480p-30fps-h264-128/






Banco à Bangkok pour OSS 117 (1964) HD 720p VF

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Réalisé par : André Hunebelle
D'après : la série littéraire de Jean Bruce
Avec : Kerwin Matthews, Pier Angeli, Robert Hossein....
Durée : 1h58
Genre : Action, espionnage, aventure
Note Imdb : 5,4
Qualité : HD 720p VF






C'est le week-end et les films s'enchaînent, et sachez que j'en ai encore beaucoup a vous faire découvrir ainsi que Vir de son côté, pour les versions HDTV. En attendant je continue sur ma lancée avec cette fois du divertissement français d'action et d'aventure, avec le fameux agent secret, le "James Bond" tricolore si l'on peut dire, "Hubert Bonisseur de la Bath" alias OSS 117 ! 
Un personnage que "Jean Dujardin"reprendra il y a quelques années dans deux comédies savoureuses "Le Caire, nid d'espions"et "Rio ne répond plus" . Ici c'est l'acteur américain "Kerwin Matthews"("Le 7ème voyage Sinbad") qui interprète le héros dont les péripéties commencent directement en Thaïlande. Bien que n'ayant pas les moyens financiers d'un "James Bond" , le film qui sortit deux ans après le premier JB de la série, "Dr No" (1962) n'en reste pas moins correct niveau action ou dépaysement (l'action se situe en Thailande, c'est qd meme mieux qu'en Normandie). 
Certes ce n'est pas des scènes d'action aussi spectaculaires, mais le quota de bastons et autres fusillades ou courses poursuites est plus ou ou moins respecté. OSS 117 reviendra notamment dans "Furia à Bahia pour OSS 117" (et que je vais partager aussi en HD la semaine prochaine) que je préfère davantage à celui ci dans l'ensemble, avec cette fois un acteur autrichien naturalisé australien  dans le rôle : "Frederick Stafford". A savoir qu'en tout, il y eut 5 films (avec celui ci) réalisé entre 1963 et 1968, consacrés à l'agent secret français.
Le méchant de service alias le "Dr Sinn" est interprété par "Robert Hossein" dans un personnage qui rappelle étrangement dans l'attitude, (mais pas l'aspect physique, ni la tenue) le "Fu Manchu" interprété par l'inoubliable"Christopher Lee". La belle de service, est joué quant à elle par l'italienne de grande classe, "Pier Angeli", fille du méchant  et parfaite en séductrice vénéneuse. 
Une pause détente donc, qui se regarde avec la nostalgie de l'époque, ou le cinéma français essayait tant bien que mal, lui aussi, d'imposer sa patte, à une moindre échelle, mais suffisamment attrayante auprès des spectateurs...

Bonne séance !

Merci pour vos coms en retours..

Lien après quelques retours écrits...




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